« Résistances populaires face aux autoritarismes et aux violences d’État : quelles stratégies face au racisme, au colonialisme et au délitement des espaces démocratiques ? »

Par Adrien Lavergne, membre du Collectif international de la jeunesse francophone au FSM 2022

Mexico, 2 mai 2022

Résumé 

La journée du lundi était  moins chargée que prévue puisque sur trois conférences prévues, seulement une s’est effectivement tenue, en présentiel. Il s’agit de l’activité intitulée « Résistances populaires face aux autoritarismes et aux violences d’État : quelles stratégies face au racisme, au colonialisme et au délitement des espaces démocratiques ? », proposée par le Centre de recherche et d’information pour le développement (CRID).

Le CRID

Le CRID est un réseau fondé en France en 1976, qui réunit 46 organisations de solidarité internationale et d’éducation citoyenne.

Il encourage une dynamique de réflexion et d’action à travers une spécialisation complète sur la solidarité internationale qui dénonce le capitalisme, le racisme et le patriarcat. Par cette dynamique, le CRID s’engage à développer des alternatives à la mondialisation capitaliste et ses ravages, et à résister aux reculs en matière de droits et libertés dans le monde.

Le CRID renforce ses alliances historiques avec les différents acteurs de l’altermondialisme et construit une coopération avec les « nouveaux mouvements sociaux », apparus dans le cadre des actions de protestation des dix dernières années. L’objectif   est de créer les conditions d’une rénovation du mouvement de solidarité internationale et ce, à tous les niveaux; mais aussi de répondre aux différents défis auxquels font face nos sociétés civiles contemporaines :

  •    La promotion de sociétés plus justes et solidaires.

  •    La promotion de politiques alternatives, basées sur des pratiques déjà développées par des acteurs de la société civile à travers le monde.

  •  Le développement durable reposant sur la défense des biens communs.

  •  La résistance face aux limitations de l’accès aux droits fondamentaux et libertés publiques.

  • La défense des acteurs de cette résistance, victimes de répression, et plus largement des acteurs de la société civile.

Activités

« Résistances populaires face aux autoritarismes et aux violences d’État : quelles stratégies face au racisme, au colonialisme et au délitement des espaces démocratiques ? »

Cette activité proposée en français, anglais, espagnol et portugais a rassemblé divers acteurs représentants certaines résistances populaires face aux autoritarismes et aux violences d’État de différents pays : États-Unis, Brésil, Guadeloupe et Mexique. Les termes d'« autoritarismes » et de « violences d’État » renvoient ici au racisme, au colonialisme et au phénomène de délitement des espaces démocratiques dans tous les États, sans exception. La finalité  de cet échange était d’exposer et de débattre à propos des  stratégies à développer et à adopteface aux fléaux précédemment cités.


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